Copains DAvant
Cela faisait maintenant plusieurs semaines que ma vie sexuelle était proche du sevrage. Ma dernière relation datant du match de fin de saison, ou mon mari mavait partagé dans une cave BDSM avec le président du club. Richard se concentrait à nouveau sur ses affaires, me laissant seule avec mes envies et mes fantasmes. De mon côté, j'avais mis un frein à mes relations avec mon amant Jérôme, et évitais de rencontrer le président du club avec lequel je n'avais aucun atome crochu. Je commençais à ressentir cette solitude sexuelle et lennui qui menvahissait. Javais limpression de passer inaperçue et que personne ne sintéressait à moi. Redoublant cependant dimagination vestimentaire, mon aspect de bourgeoise nattirait peut-être plus ? Je paniquais à lidée de ne plus être cet objet de désir et de fantasme que javais tenté dêtre toute ma vie durant. Peut-être était-il temps de regarder un peu en arrière, un retour aux sources. Une plongée dans mes amours de jeunesse ? Je me mis à surfer sur Internet utilisant Facebook, Instagram, à la recherche d'anciennes conquêtes. Bien que javais déjà beaucoup de connaissances intimes dans mes contacts avec qui jentretenais des relations amicales, je retrouvais aussi danciens amis de lycée ou de la faculté. Cest en minscrivant sur « Copains davant » que je tombais presque par hasard sur le profil de Thierry que j'avais connu dans les années 90, lorsque pour payer mes études, je travaillais en tant que surveillante dans un lycée. Il était étudiant en école de commerce et professeur de mathématiques, et j'avais naturellement succombé à ses charmes, vivant une courte mais intense aventure de quelques mois. L'homme était beau et brillant, membre dune famille noble avec nom à particule, les parents était notamment propriétaire dun grand cru de bourgogne très fameux. Cela avait été une aventure passionnée, étant célibataire, alors que lui était en couple depuis plusieurs années avec une femme quil devait épouser.
- @Thierry : « Coucou, aujourdhui mardi 20H30, 30 ans plus tard, et je pense à ces moments furtifs ensembles au lycée. Te souviens-tu ? Même jour même heure :-) »
- @Patricia : « Comment aurais-je pu oublier cela !!! Jy pense souvent, tu te souviens de la première fois ? »
- @Thierry : « Je me souviens que tu étais venue me rejoindre dans le dortoir des filles... »
- @Patricia : « Oui, et tu étais sortie, car il y avait du bruit, et quand tu es revenue, je tai entraîné dans les toilettes, ou on na fait lamour... Jy pense souvent. »
- @Thierry : « Avec regret, envie ou désir ?"
- @Patricia : « Désir, dailleurs en ce moment... Tu veux voir ? »
Il menvoya alors une photo. Son sexe dressé avec sa main autour. Il devait se masturber alors que je ne réalisais pas toute la symbolique de cette image et létape que jétais en train de franchir de manière totalement implicite.
- @Patricia : « Alors ça te plaît, tu reconnais ? »
Surprise, mais surtout très excitée, je passais ma main également entre mes cuisses... Pour toute réponse, je lui envoyais une photo également de ma main plongée sous ma culotte. On continua à échanger pendant presque une heure, des propos érotiques, alors que je me masturbais tout en limaginant faire la même chose de son côté. Le lendemain, il me proposa de changer de système de chat, en installant « Signal » un chat pour couple infidèle, mais beaucoup plus sécurisé. À partir de ce moment, nos échanges furent beaucoup plus intimes. Il menvoyait régulièrement des photos de son sexe, et je faisais de même, lui racontant également quelques-unes de mes aventures. On était passé du chat confidentiel à lenvoi de photos coquines, jusquà ce quun soir, il se connecte en facetime... Il se filmait en train de se masturber, assis sur son lit et face à un miroir, tout en me racontant notre premier rendez-vous... Jétais hypnotisée par son membre bien dur quil serrait et branlait vigoureusement, écoutant sa narration :
« Je me souviens nous étions tous les 2 dans ta chambre, je t'embrassais poussant ma main sous ta jupe alors que tu tenais tes cuisses serrées. J'avais plongé mes doigts sous ta culotte un petit tanga blanc en dentelle et alors que je te roulais une grosse pelle, et enlevais ta culotte, tu es sortie de la chambre, car il y avait du bruit dans le couloir. Je t'ai suivi discrètement attendant que tu reviennes, et alors que tu retournais vers la chambre, je t'ai attrapé par le bras et entraîné dans les toilettes. Je t'ai baisé une première fois, tu étais assise levrette sur ma grosse queue, je t'ai défoncé comme un fou. Comme tu gémissais trop fort, je t'ai mis ta culotte dans la bouche. Je me souviens encore de tes gros seins entre mes mains. J'ai joui une première fois dans les chiottes dans ta chatte toute mouillée, avant de retourner ensuite dans ta chambre où on a refait l'amour te prenant par-derrière à quatre pattes sur ton lit qui narrêtait pas de grincer.
Nous avions une nouvelle fois franchi une nouvelle étape dans cette relation virtuelle. Son histoire mavait fortement excité, avec en point dorgue son éjaculation, devant laquelle je restais fascinée par le sperme qui dégoulinait entre ses mains. Je coupais son facetime, et seule sur mon canapé me masturbais. Bien que possédée, jessayais toutefois de différer mon plaisir afin d'en augmenter la portée, marquant un temps court pour faire redescendre l'excitation. Jaccélérais ensuite le rythme, pour faire monter mon désir avec des lents tapotements de mon clitoris, puis de plus en plus rapides, avant de mécrouler sous un orgasme violent. Je ne pouvais dire ce qui mavait excité le plus, cette masturbation hystérique ou la vue de mon ancien amant, qui mavait ramené 30 ans plus tôt. Je me couchais enfin apaisée, rêvant toutefois à des ébats torrides avec des hommes cagoulés, qui à la fin prenaient la forme de Thierry.
Il me laissa plusieurs jours sans nouvelles, ne répondant que brièvement à mes sollicitations. Une fois de plus délaissée, je devenais folle. Je nen pouvais plus dattendre. Il me donna enfin un rendez-vous virtuel, me laissant suffisamment de temps afin de morganiser en télé travail à la maison et donc de misoler.
- @Patrica : « Bonjour belle demoiselle »
- @Thierry : « Flatteur, je nai plus rien à voir avec une demoiselle, cest plutôt la ménagère de 50 ans maintenant :-) »
- @Patricia : « Pour moi, tu es et tu resteras cette magnifique jeune femme, dont je suis resté passionnément amoureux pendant toutes ces années. »
- @Thierry : « Alors pourquoi tu mas quitté avec comme cadeau de départ ton sperme dans ma bouche »
- @Patricia : « Malheureusement, comme tu le sais bien, mon milieu à ses propres contraintes... Et si ce soir, cétait toi qui prenais la main. Raconte-moi une de tes aventures en détail. »
Je branchais mon facetime, zoomant entre mes cuisses en évitant de dévoiler mon visage, relevais ma jupe dévoilant ma culotte et lui racontais mon histoire tout en plongeant ma main dans mon vagin. Je lui racontais comme javais été violé par Daniel, et ses deux joueurs dans le bus. Je nomettais aucun détail, et je pouvais limaginer se masturbant de lautre côté de son téléphone... Il menvoya une photo de sa main recouverte de sperme, je venais de le faire jouir à distance. À défaut de télé travail, je pratiquais maintenant la télé masturbation. Une fois de plus et surexcitée par cet échange, je me masturbais violemment seule dans mon lit.
Ces échanges durèrent plusieurs semaines, avant quil me propose de nous rencontrer pour déjeuner. La distance géographique ne simplifiait pas l'organisation, et même si je mourais d'envie de le voir, je navais pas dalibi pour un déplacement sur Dijon qui apparaîtrait sûrement suspect aux yeux de mon mari. Thierry prit linitiative mannonçant quil devait faire une visite en Lorraine. Je pris l'excuse dune visite chez mes parents pour justifier l'aller-retour dans la journée. J'avais pour l'occasion sorti le grand jeu avec une jupe crayon en Jacquard mi-longue multicolore et sophistiquée à motif Vichy composée de carré blanc et beige mettant en valeur ma silhouette et un pull en laine col roulé blanc très moulant et des petites bottines. Je voulais montrer à cet aristocrate la bourgeoise raffinée que j'étais devenue, espérant également lui faire briller les yeux de désir comme une revanche sur la façon donc il m'avait quitté. Je pris ma voiture en milieu de matinée pour le retrouver 2 heures plus tard dans la ville de notre jeunesse, dans une brasserie pour le déjeuner. Moi qui souhaitais le séduire, ce fut leffet inverse. Il n'avait pas changé et était toujours aussi séduisant. Habillé comme un prince avec un look à la George Clooney, il était totalement irrésistible. Moi qui pensais qu'il allait fondre en me voyant, c'était plutôt l'inverse. On s'embrassa amicalement, sinstallant dans un coin isolé du restaurant. Non loin du centre, dans un cadre feutré et légèrement baroque, nous étions engoncées dans des grosses banquettes, privilégiant une certaine intimité. Percevant que jétais intimidée, il me mit rapidement à l'aise.
- Tu es resplendissante, toutes ces années ont juste contribué à tépanouir davantage.
- Merci, tu es un flatteur, mais ce nest pas limpression que jai quand je me regarde dans le miroir le matin. Plus de kilos plus de rides, enfin bon, plus de tout, qui nous éloigne de ce quon a été.
- Pas du tout, tu as transformé la jeune femme sexy que je connaissais et dont jétais déjà fou, en une magnifique femme mûre, et je suis sûr que tu as un succès fou, en tout cas, tu me rends encore plus fou.
Il me complimentait, se montrant flatteur, dragueur, me prenant aussi parfois par la main, afin de membrasser sur la paume. Il régnait une tension torride et érotique entre nous qui augmentait au fur et à mesure que le déjeuner avançait.
- Tu sais ma chère amie que tes histoires mont rendu totalement fou.
- Oui, en effet, jai pu voir cela sur la photo que tu mas envoyé... Jai beaucoup aimé aussi ton facetime
- Pourquoi avoir repris contact avec moi, cétait plutôt inattendue après tant dannées ?
- Peut-être la nostalgie davoir des nouvelles de personnes qui ont compté dans ma vie.
- Je ne suis donc pas le seul ?
- Non, cependant, tu es le seul avec qui je déjeune, et avec qui je partage des photos de ma petite culotte...
- Et jen suis très flatté !!! En même temps, tu es aussi la seule avec qui je partage des photos intimes... Raconte-moi un peu plus, je veux tout savoir. Javoue que je suis curieux de comprendre ce qui tanime ; tes passions, tes amours...
- Disons que jai toujours eu une vie affective ou sexuelle très active. Mon mari est un adepte de la soumission et de léchangisme, donc il ma fait adopter progressivement ses fantasmes. Quand les s ont quitté la maison, je me suis senti vieillir, devenir fade, moins utile alors je me suis remise à travailler dans la société de Richard, et javoue avoir eu des relations adultères un peu particulière.
- Que veux-tu dire par particulière ?
- Disons que jai pris goût à la soumission, me savoir désirer, convoiter, prise de force, violer. Jaime ce jeu de rôle où je deviens la proie, un objet de désir de luxe que lon utilise et on jette. Un peu comme si je cherchais à revenir à mes origines sociales
- Passer de la bourgeoise snob à roturière en quelques sortes
- Oui, cest un peu ça.
- Tu as fait ton analyse toute seule.
- Ohhhh non, je me suis fait aider, jai beaucoup consulté...
- Est-ce que je peux te poser une question indiscrète ?
- Je técoute, même si je pense quavec ce que je tai déjà raconté de moi, je ne vois pas ce qui peut encore être considéré comme indiscret.
- Pendant toutes ces années, tu tes masturbé en pensant à moi ?
- Disons que depuis quon discute par facetime, cela marrive de temps en temps ... Je me suis surprise plusieurs fois seule dans ma chambre un peu excitée après nos échanges.
- Jai envie de toi !!!!
- Thierry, nous sommes tous les deux mariés...
- Peu importe, jai envie de te prendre, te faire lamour, que tu tévanouisses entre mes bras...
- Tu es sûr de ne pas le regretter plus tard ...
Il ne répondit pas, demanda laddition, et après avoir payé memmena avec lui. Docile, je ne posais aucune question, ne souhaitant quune chose me retrouver seule avec lui, et le laissait jouer avec moi, mon corps mes formes. Je me souvenais de la façon dont il me prenait quand nous étions étudiant, et ne désirais quune chose, quil me baise à nouveau !!! Nous étions silencieux dans son véhicule, alors quil me conduisait à son hôtel. Tous les deux impatients de nous retrouver, nous restions silencieux. Javais finalement espéré ce moment depuis le moment où je lavais retrouvé sur Internet. Alors que nous avions quitté le centre, il stationna sa voiture sur le parking dun hypermarché, coupa le contact, et se pencha vers moi, me scrutant dans les yeux. Il mattira vers lui, et membrassa fougueusement. Sa langue avait plongé entre mes lèvres, métreignant entre ses bras puissants, me roulant une galoche tel un adolescent gourmand. Cétait un baiser passionnel tournoyant de la langue lors d'un intense enlacement langoureux. Il samusa de mes lèvres, de ma bouche, de ma langue, pendant plusieurs minutes, comme pour rattr tout ce temps perdu... Je mabandonnais à lui, le laissant prendre le contrôle. Il me tenait par les cheveux tout en visitant de sa langue chaque recoin de ma bouche. Il avait compris mes tendances sexuelles, et visiblement, ça avait lair de lui plaire. On sembrassa encore sans se préoccuper de lendroit et du temps qui passait avait quil se redresse toujours en me tenant fermement.
- Je nai pas cessé de penser à toi ma belle, je vais te montrer combien tu es désirable, encore plus quavant !!!!
Il reprit la route, jusquà son hôtel, garant sa voiture sur le parking. À ma grande surprise, il avait réservé une chambre dans un château à plusieurs kilomètres du centre. Ce délicieux château était un bâtiment du XVIII siècle magnifiquement restauré et rehaussé de subtiles touches de modernité. Avec un chef étoilé qui proposait une cuisine gourmande et audacieuse. Il mentraîna jusquà sa chambre, une suite avec un décor historique allié aux conforts des technologies modernes avec vue sur le jardin du domaine et un lit king size. Il referma la porte derrière nous, et sans attendre me poussa contre la porte, laissant tomber mon manteau sur le sol. Coincé contre la porte, il se colla à moi pour membrasser de nouveau. Ses mains se joignaient à sa langue pour redécouvrir mon corps, après tant dannées. Je sentais ses caresses parcourir rapidement mes formes pulpeuses, à la recherche du temps perdu, alors que sa langue faisait son travail de préparation montant mon niveau dexcitation à son extrême.
- Emmène-moi sur le lit, et prends-moi maintenant.
- Non pas tout de suite, laisse-moi profiter de toi... Jaime te coincer comme ça, et je me souviens que tu adorais cela...
- Ohhhh Thierry, tu vas me rendre folle, on est fou tous les deux, on va regretter tout ça...
- Non ma belle, je vais te prendre, te posséder, te violer.... Cest de ça que tu as envie...
Sans attendre, il releva ma jupe Vichy, laissant apparaître mes bas et mon string en dentelle noir, me remonta les cuisses autour de ses hanches et après avoir écarté la lanière de ma culotte me pénétra avec force. Son sexe menvahit, me laissant échapper un premier cri de stupeur. Javais oublié cette sensation dêtre possédée par cet homme brillant, puissant, cet amant qui mavait retourné le cur à 25 ans et qui recommençait 30 ans plus tard. Je sentais son désir entre mes cuisses qui était toujours aussi fort, et qui me détruisait lentre-jambe tel un redoutable marteau piqueur. Il me pilonnait avec une énergie athlétique. Robuste, solide, tout-puissant et terriblement viril, il me baisait violemment, alors que comme une sangsue, javais accroché mon corps à ses hanches et son cou. Ses mains sétaient saisies de mes fesses afin de me porter, et sa langue continuait à jouer entre mes lèvres. Lénergie de son sexe me rappelait quel amant exceptionnel il avait été, tout en le démontrant aujourdhui par la preuve et avec lardeur de son membre qui coulissait en moi rapidement. Combien de temps cet homme athlétique allait-il pouvoir me baiser de la sorte. Même si mon IMC était tout à fait acceptable pour une femme de 55 ans, je pesais quand même 60 Kg, ce qui représentait sur la durée un challenge qui ne semblait pas le gêner. Ses coups de reins me submergeaient de plaisir. Son sexe mhabitait, rallumant cette envie et amour de ma jeunesse. Je gémissais, grognais, pleurais...
- Ohhhh Thierry, oui, cest si bon, tu me fais jouir, tu me prends comme une folle, emmène-moi sur le lit, et baise moi comme une chienne. Prends-moi comme une roturière.
- Attends un peu ma belle, il faut mériter le lit...
Sortant son sexe de ma chatte en feu, il mattrapa par-derrière, de ses bras musclés par les hanches, et me souleva pour me renverser, la tête en bas. Lui debout, appuyé contre la porte et moi la tête en bas lui tournant le dos juste maintenue par ses bras forts. Il avait la tête entre mes cuisses et sa langue plongeait dans mon vagin, alors que je prenais son gros sexe tendu dans ma main, pour fourrer son gland dans ma bouche. Je sentais tout leffet de sa caresse buccale entre mes cuisses et encore une fois me demandait combien de temps, il allait pouvoir maintenir cette position. Sa langue jouait avec les grandes lèvres de mon sexe, alors que je sentais un doigt qui titillait mon petit trou. Lors de notre première relation, javais toujours refusé quil me sodomise. Lépoque, les murs, ma découverte du plaisir anal avait bien évolué en trente ans, et je pouvais sentir son envie et frustration de navoir jamais usé de cet orifice interdit. Je le laissais jouer de ce doigt, ne pouvant toutefois manifester un quelconque refus. Il me suçait, me manger le clito, me bouffer la chatte. Sa langue était comme un personnage démoniaque, alors que je continuais dans la mesure du possible de prendre son sexe en bouche.
- Ohhhhhh, Ouiiiiii, Prends-moi maintenant, emmène-moi sur le lit....
- Encore un peu de patience ma belle
Il me redressa, et me poussa vers le fauteuil, se positionnant devant moi, poussant son sexe toujours bien dur entre mes lèvres...
- Suce-moi ma beauté, comme lors de notre dernière fois dans ma voiture, bouffe-moi la queue.
Je le pris en bouche entre mes lèvres, et le suçais, avalant son membre de manière gourmande et salace. Je mettais tout en uvre pour lui montrer mes talents de suceuse, lui démontrer mon appétence à sa bitte, mordillant son gland, léchant de haut en bas, pompant son sexe, telle une affamée de sexe. Jaffichais mon envie, mon désir, mon besoin de le prendre dans ma bouche, telle une boulimique de fellation.
- Ohhhhh quelle pipeuse tu es... Javais oublié comme tu suçais bien... Jamais je nai trouvé quelquun que me pompait le dard comme toi ma belle.... Vas-y prends moi en entier, bouffe ma grosse queue comme une gourmande...
Coinçant mes bras sur les accoudoirs du fauteuil avec ses genoux, il sétait dressé en équilibre et poussa à nouveau son membre au fond de ma gorge, me tenant par la tête et les cheveux afin que je ne puisse me soustraire à cette gorge profonde inattendue. Mes confidences de mon attrait pour la soumission avaient produit son effet. Il utilisait ma bouche comme un objet de désir avec convoitise, ardeur et désir.... Jétouffais sous son sexe, sentant sa main libre relever mon pull, afin de prendre possession de ma poitrine quil avait pour linstant ignoré. Il libéra enfin mes gros seins protégés par un soutien-gorge corbeille en fine dentelle noire composé de broderies exubérantes et de fleurs luxueuses éclatantes, associé à une fine dentelle en Leavers noire. Sa main palpait mes gros seins au travers de la dentelle alors que sa queue continuait à coulisser entre mes lèvres. Je devais ralentir la cadence si je ne voulais pas le faire jouir trop vite. Je voulais que ce moment continue encore et encore pour durer le plus longtemps possible et quil me possède comme dans nos folles années de jeunesse.
- Ohhhhh, javais oublié que tu avais daussi beaux seins. Ils sont plus gros quavant, on voit que Madame a bien travaillé. Quels beaux gros nichons, tu as !!!!! Ohhhhhhh tu vas me rendre fou ma belle.
- Ohhhhhh, Thierry prends moi maintenant, fais moi lamour emmène moi sur le lit, et baise moi !!!!!
- Tu veux le lit, ma belle, tu vas lavoir....
Il me poussa enfin vers le lit, minstallant à quatre pattes. Javais ma magnifique jupe Vichy relevé et mes gros seins pendouillant, étant juste protégée par la lanière de mon string, dernier rempart entre sa grosse queue dure et affamée et mon vagin en feu. A genoux à mes côtés, il me baissa le string à mi-cuisse, afin de me fourrer deux doigts dans ma chatte brûlante. Alors que sa main gauche me doigtait avec violence et passion, sa main droite sétait posée sur mes lèvres pour atténuer mes gémissements.
Javais oublié que tu étais si bruyante ma belle. Je vais te faire jouir maintenant, je ne te libérerai quaprès plusieurs orgasmes...
- Hummmmmmm ;, Ouiiiiiii, Ohhhhhh, Mon Dieu !!!!!! Ohhhh Thierry !!!!!!!!
Sa main toute-puissante usait et abusait de mon entre-jambes. Fasciné par mes grosses fesses, il me mordillait le cul à pleines dents, mappliquant de temps en temps de grandes claques sur mon gros derche, avant de replonger ses doigts en moi et me doigter de plus belle. Le résultat ne se fit pas attendre, et une série dorgasmes me transpercèrent le corps. Violent, terrible, énergique, je me courbais sous la forte intensité de ses caresses. Javais perdu le contrôle et toute mesure, me laissant aller, et posséder par mon ancien amant.
- Ouhhhhhhhhh, my god tu me rends folle, ohhhhhh, je suis en train de jouir, ohhhhhhh !!!!
Je mécroulais une première fois. Il me retourna sur le dos, releva mes jambes à la verticale, toujours coincées dans mon string, et recommença la même punition. Ses doigts me détruisaient, amplifiant mes gémissements qui résonnaient dans cette chambre médiévale. Afin de maintenir mes jambes à la verticale, il tira sur mon string, poussant la dentelle entre mes dents. Je serrais ma culotte qui coinçait entre mes jambes me permettait également de me maintenir dans cette position.
- Lâche pas ta culotte ma belle, pendant que je moccupe de tes belles mamelles.
Il me pétrissait mes gros seins, tout en me détruisant la chatte, fixant mes yeux médusés par le traitement que je subissais. Je perdais la notion du temps, laissant mon amant changer de position quil conservait jusquà ce quun nouveau spasme me traverse. Je voulais quil me possède, quil me prenne, quil me baise et quil jouisse enfin en moi. Sentir son sperme dans ma chatte dégoulinait entre mes cuisses était ma seule aspiration. Jamais il ne mavait possédé de cette façon si violente, et jamais les préliminaires navaient été aussi longs. Il navait quun but, me détruire sexuellement afin de me posséder et de me finir de son sexe. Il voulait que je le supplie, ce que je faisais avec passion...
- Ohhhhh, Thierry prends moi maintenant, je nen peux plus tu vas me , baise-moi, je veux ta grosse bite en moi, je suis à toi !!!!!
- Pas encore ma belle, tu nes pas prête....
Il continua, encore et encore.... Cela navait pas de fin, jusquau moment où traverser par un ultime orgasme, je mécroulais sur le lit... Il me laissa quelques minutes afin de reprendre mes esprits, et après mavoir retiré mon pull blanc, me repositionna à quatre pattes afin de me pénétrer en levrette. Il me baisa enfin, poussant son sexe en moi, me prenant par la croupe, bien accroché à ma jupe retroussée. Je ne pouvais plus réagir, me laissant faire, comme une poupée de chair. Jamais je naurais pu imaginer cet homme qui approchait les 60 ans avoir cette endurance. Il était passé dun amant exceptionnel à un animal de sexe. Il me laboura encore et encore, multipliant les positions et ne me laissant aucun répit. Ses mains saccrochaient à mes gros seins me palpant fermement alors que son membre coulissait en moi. Je jouissais une fois de plus, sentant quil arrivait lui aussi au point de non-retour. Il essaya de reprendre le contrôle baissant la cadence de ses coups de reins, alors que je continuais à remuer mes grosses fesses toujours possédées par sa bitte. Il se vida enfin en moi et je sentais son sperme chaud se répandre entre mes cuisses.
- Ohhhhhhh Salope tu mas eu, prends mon foutre ma belle !!!!!!!!
Il était 15H30, je venais de me faire baiser pendant plus dune heure et demi. On sécroulait tous les deux, sur le lit, sassoupissant épuisés par leffort intense de nos ébats. Je repris mes esprits 30 minutes plus tard, me rendant à la salle de bain afin de me rhabiller et de faire un semblant de toilette. De retour dans la chambre, je mapprochais de Thierry pour lembrasser avant de partir déjà très en retard.
- Tu reviens bientôt ?
- Oui, je vais voir ce que je peux faire, mais je devrais pouvoir marranger.
Je pris mes affaires, me dirigeant vers la porte, et alors que je ramassais mon manteau toujours sur le sol, je sentis la présence de Thierry derrière moi, qui me saisit par les hanches et me poussa vers la porte.
- Je crois quavant que tu partes, jai encore une chose à terminer.
- Ohhhh, Thierry, je nai vraiment pas le temps, je suis terriblement en retard. En plus, je dois récupérer ma voiture dans le parking du centre-ville.
- Chut, beauté, tu ne partiras pas dici avant de mavoir donné ce que jattends depuis si longtemps.
- Non Thierry, je sais à quoi tu penses et tu sais que je ne veux pas.
- Je ne me souviens pas de tavoir demandé ton avis salope. Tu viens ici pour te faire baiser dans tes habits de bourgeoises et fleureter avec un mec de la haute, et tu crois que tu vas échapper à ma bite dans ton gros cul !!!!
Le ton avait changé, il avait pris une posture dominante, me poussant contre la porte et retroussant à nouveau ma jupe Vichy avec autorité, libérant mes grosses fesses juste protégées par la lanière de mon string noir. Il baissa à nouveau ma culotte à mi-cuisse, tout en me tenant la tête collée à la porte de la chambre alors que je sentais sa main se poser entre mes fesses. Jessayais de résister pour la forme, mais je savais que je ne pouvais échapper à sa volonté de vouloir me sodomiser. Son doigt pénétra dans mon petit trou sans aucun préliminaire.
- Ohhhhhhhhhhh !!!!!!
- Voilà ma belle, je vais te doigter un peu ton gros derche. Dis-moi que tu as envie que je tencule, salope !!!!
- Non, Thierry, sil te plaît, laisse-moi partir maintenant, je ne veux pas.
- Dis-le-moi salope, je veux tentendre !!!!
- Ohhhhhhhhhh, Hummmmmmm, oui vas-y prends moi, sodomise-moi maintenant.
- Dis-moi que tu veux que je tencule !!!!
- Ouiiiiii encule moi, prends-moi mon gros cul, sur le lit maintenant.
Il me doigta lanus pendant quelques minutes, coincée contre la porte, soumise à sa force et à son désir, avec de me pousser à nouveau vers le fauteuil me tenant par les cheveux comme un animal. Il me plaça en levrette, fesses en lair, culotte baissée et replongea son doigt dans mon anus. Il reproduit la même séquence quauparavant, me tenant par les cheveux tout en me doigtant le cul avec passion. Ce viol anal réveilla, mon désir, et je repartais à nouveau dans ce monde de plaisir ponctué dorgasmes répétitifs. Estimant que jétais suffisamment dilaté, il me sodomisa enfin. Son sexe senfonça en moi, doucement jusquà me posséder entièrement.
- Voilà ma belle, jen ai rêvé depuis tout ce temps de te prendre ton gros cul de roturière. Dis-moi que tu aimes ça de te faire enculer par un vrai bourgeois et Comte de surcroit !!!!!
- Hooooooo, Hummmmmmm, Ouiiiiiiiiiii Monsieur le Comte, encore, prenez-moi comme votre boniche
- Ohhhhhh, oui vas-y grosse pute, parle-moi je veux tentendre !!!!
Il continua à me pilonner pendant plusieurs minutes avant de se coucher sur le lit, me positionnant au-dessus le dos tourné. Il replongea sa queue dans mon anus, redressant mes jambes à 45 degrés et me pilonna comme une brute. Je gémissais, pleurais, implorais.... Il me faisait jouir. Il tira à nouveau sur mon string toujours coincé à mi-cuisse quil me força à prendre dans la bouche, afin daccen encore plus ma soumission. Il me saccagea lanus, tout en palpant mes gros seins, avec ses mains qui sétaient glissées sous mon pull. Il me sodomisa encore pendant une dizaine de minutes avant de se vider sur ma jupe et de me laisser reprendre mes esprits avant de regagner ma voiture. Il mavait littéralement démonté lanus, et je sentais assise dans ma voiture les stigmates de cette pénétration anale féroce et brutale. Javais vécu quelque chose de fou, et songeais à un moyen pour le revoir rapidement espérant quil partage la même envie. Son dernier SMS me rassura...
- @Patricia : « Trouve-toi un bon alibi, car je veux te revoir tout vite. »
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